| Chapitre 7
Un passé chaotique
Annie leva son verre, elle voulait trinquait, Candy coupa son élan.
- Il me manque deux invités dit-elle (Candy)
- Qui est-ce ? demanda Charlie
- Ta femme et la personne qui m’a permis de rentrer sans que je sois ennuyé.
Deux personnes arrivèrent une belle femme brune qui se dirigea vers Charlie et lui donnant un baiser sur les lèvres et la seconde personne fut le Professeur Grandchester qui serra Candy dans ses bras à la grande surprise de tout le monde.
- On peut commencer demanda Annie
- Vas-y lui dit Candy avec un clin d’œil.
- Je lève mon verre à mon amie, ma sœur Candy Brown.
- Rectification lui dit Candy
- Hein fit Annie surprise
- Je vais me présenter correctement je suis Candy Neige Steve à partir d'aujourd’hui.
- Qu’est-ce que ça signifie demanda Annie, elle ne c’était pas marier sans lui dire quand même.
- Aujourd’hui je dois annoncer deux nouvelles et remercier certaines personnes.
- Explique-toi ne me fait pas attendre. (Annie)
- Mon adoption fut acceptée grâce à Richard, je vous présente mon père, M. Steve Albert. Et je remets min titre de championne du Japon en jeu le mois prochain.
Annie, Richard, Charlie et M. Steve applaudirent, les autres ne comprenaient vraiment rien à ce qui se passait.
- Qu’est-ce ça veut dire interrogea Annie.
- Avant tout répondit Candy laisse mon équipe se présentait.
- Je vais présenter tout le monde fit un homme, je suis William André, là vous avez Dorothy Blanche chef des infirmières, l’autre jeune dame c’est Betty Ewing et juste derrière vous nous avons les frères Cornwell, voici Archibald 1 ère Année de Chirurgie, et Alistair 3ème année de Cardio, et le médecin généraliste Michael Fabre qui nous vient de France, et les deux aides Soignant John Et Jimmy.
- Je t’ai choisi la meilleure équipe vu tes compétences ma chère lui fit Richard.
- Merci dit-elle ?
- Laisse-moi te présenter à ma façon plaisanta Richard.
- Ok fais -toi plaisir (Candy)
- Vous connaissez son nom maintenant, mais je dois vous expliquer avec qui vous allez travailler, Candy est la plus jeune diplômée en doctorat du japon, elle est championne de boxe et ses cinq dernières Années, elle fut chef du service des urgence de l’armée Japonaise.
- - tu nous surprendra toujours dit Terry qui ne croyait pas ses oreilles la délinquante dans l’armée.
- Tu m’oublies petite sœur fit Charlie
- Mais non je vous présent Charlie, mon sauveur, qui a épouser la fille de mon père adoptif je vous présente Sandra qui est ma conseillère dans les affaires.
- Vous m’avez impressionné ce matin dit William.
- J’aimerais que vous me tutoyer et je ferais de même, puis j’ai une façon très particulière de travailler donc j’espère que vous ne m’en voudrez pas trop si je vous secoue un peu.
- La dernière fois qu’elle a secoué quelqu’un plaisanta Terry cette personne a failli y laisser la vie .
Charlie et Candy, lui lancèrent un regard noir, il se sentait tout petit à présent.
- Le passé est le passé professeur lui répondit Candy froidement
- Alors nous feront de notre mieux. (Archie)
- Êtes-vous mariée demanda Georges ou peut-être un couple.
- Je suis mariée à mon travail, et fiancée à la boxe plaisantant -elle.
- Et votre temps libre que faîtes-vous demanda William
- Elle s’entraine 5 heure par jour fit Albert plus son travail, elle n’a pas beaucoup de temps pour autre chose.
- Ne dit pas n’importe quoi papa, elle trouve encore du temps pour les affaires.
La table d’à côté s’intéressait à la conversation Annie le remarque, se leva et les invita à venir, les garçons se levèrent sans avoir entendu le refus d’Élisa.
- Tes conquêtes lui dit Annie
- Non commentaires ria Candy
- Avoue que tu n’as pas pu en garder un affirma Charlie, je t’ai soutenue pendant trois ans, même moi je n’arrivais pas à suivre ton rythme.
- Et c’est pour ça que tu m’as épousé (Sandra)
- Vous étiez en couple demanda Archie
- Sûrement pas, elle est trop folle, je ne voulais pas mourir se moqua Charlie
- Expliquez-nous demanda John
- C’est simple, imaginez une seule journée avec elle, debout 4h elle court 1 heure, puis va à son travail, quand elle sort elle s’enferme dans sa salle d’entrainement et le week-end elle prend l’avion, on ne sait jamais ou elle va, le pire c’est qu’elle emmène ma femme.
- Pourquoi avoir une vie si remplit interrogea Daniel.
- Pour survivre expliqua-t-elle
- Une jolie fille comme vous, ne doit pas avoir de soucis avec sa vie. (Daniel)
- Alors je vais vous expliquer une chose dit Charlie en colère, grâce à votre sœur, la mienne a fait un an de prison pour une faute qu’elle n’avait pas commise, elle a dû faire ses cours par correspondance pour avoir son bac avant de partir au Japon, le faites que Candy a dû gêner votre sœur, pour qu’elle fasse ça alors qu’elles étaient Amies.
- Assez explosa Candy
Élisa qui était rester seule, se leva et prit la voiture de son frère pour rentrait chez elle personne ne remarqua son départ. Daniel était intrigué par cette femme, ce n’était pas le seul.
Puis la conversation dévia sur des blagues des anecdotes, des projets
Anthony s’approcha de la jeune fille lui demanda :
- Tout le monde a bu, sauf vous.
- Je ne touche pas à l’alcool.
- Même pas un verre ?
- Non désolée, je ne bois pas du tout
- Vous aimez le luxe demanda Daniel
- Pourquoi une telle question (Candy)
- Vous vivez à l’hôtel, vous roulez en Porsche, vous avez une salle de sport qui doit rapporter.
- Alors, écoutez-moi bien Docteur Legrand fit -elle en colère, l’hôtel est celui de ma grand-mère, ma voiture c’est le seul cadeau que je me suis fait et la salle de sport est un hommage à mon ami Tom, les seuls à s’entrainé dedans Charlie mon frère et moi-même, chaque chose à une importance dans la vie.
La soirée se termina très tard dans la nuit, mais Candy c’était éclipsait à 22h, car elle sentait fatiguée. Elle avait demandé à Annie de donner des chambres à ceux qui avait trop bu.
Son réveil sonna, elle se leva enfila son survêtement, Annie avait préparer plusieurs déjeuner, car certain était encore debout, elle descendit dit bonjour à son père, elle vit qu’il discutait avec Terry, Charlie, Daniel et Jimmy.
Venez prendre le petit déjeuner invita Annie
Candy bu un jus ‘orange et mangea un bol de céréale,
- Café proposa Terry à Candy
- Non merci, je dois partir, papa vu la nuit que tu as passé, inutile de m’accompagnait.
Albert lui adressa un super sourire, elle comprit qu’il était désolé
- Ne force pas trop, n’oublie pas que dans un mois nous partons pour le Japon fit Charlie
- Ok je serais de retour d’ici une heure, au faites demande à Annie de déposer des serviettes dans la salle j’ai besoin aussi de savon n’oublie pas de la fermé à clés. (Candy)
- Ne t’inquiète pas, je ferais le nécessaire répondit Annie.
Puis elle partit courir en laissant tout le monde devant leur bol.
Terry interrogea Charlie, sur ce qui c’était passé pendant ses 10 dernière années, l’homme regarda son ancien professeur et lui répliqua
- Pourquoi ne pas demander à la personne concernée. (Charlie)
Puis les conversations repartirent sur des sujets autres que Candy, mais tout le monde avait remarqué le silence autour de son passé, de colère Charlie avait parler de la prison mais c’est tout.
Elle courut sans se rendre compte de l’heure elle repensa au passé :
Juste après avoir pris la fuite avec Charlie, Élisa attendait à la sortie de la ville avec plusieurs policiers, elle fut arrêtée pour vol de bijoux, ce jour-là ; Élisa commis la plus grosse erreur de sa vive, elle déchira la seule photo de la mère et l’oncle de Candy, elle prit un an de prison et commença ses études par correspondance, , quand elle sortit après cette année-là, son père et sa belle-mère avait refuser de payer les frais de l’emplacement funéraire de sa grand-mère, c’est Charlie qui avait payer, il l’a soutenait, il était présent comme un grand frère, mais Candy ne voulais pas en rester là, elle voulait se faire oublier de tous pour revenir en force, elle étudia trois ans à Chicago et parti pour le Japon en laissant Charlie à la charge de M. Steve.
Elle avait travaillé dure, elle avait obtenu son diplôme rapidement, elle payer ses cours avec des combats de rue.
Un général Japonais l’avait trouvé magnifique dans ses combats, il lui avait proposé de faire d’elle une championne, puis quand il avait découvert qu’elle étudier la médecine , il lui paya des cours pour qu’elle passe son diplôme en chirurgie, et l’avait fait engager dans l’armée, elle ne l’avait jamais déçu, ce général fut tuer dans un attentat, sans lui sa vie tournait au cauchemars, mais elle souvenait de ses paroles, dans la tu dois te battre, ton cerveau doit trouver la solution pour chaque guerre que tu voudras commencer.
Et par pur hasard, elle fit la rencontre de Richard Grandchester qui la pris son aile.il ne lui avait pas dit que son fils avait une photo d’elle, ce qu’il vit en premier c’est l’étincelle dans ses yeux, certes des flammes de colère dansaient, mais aussi il voyait les flammes de la passion dès qu’elle était au bloc opératoire, et sur un ring
Quand elle finit de courir Annie l’attendait devant la porte, à son regard elle sut qu’il c’était passer quelque chose, elle tendit la bouteille à Candy mais celle-ci ne dit pas un mot, pris l’eau et se dirigea vers la salle de sport.
Annie veillait sur Candy, comme une mère, elle pouvait deviner les actions de celle -ci en la regardant dans les yeux, elle savait par ou elle était passé, puis quand M. Brighton avait mis Annie à la porte Candy avait le nécessaire pour qu’elle ne puisse manquer de rien. C’est comme ça qu’elle se retrouva associée à Candy.
Doucement elle s’approcha de Charlie, elle murmura quelques mots au creux de son oreilles, celui -ci se leva et parti en courant, sans finir sa conversation.
- Je m’excuse mais Charlie est parti pour une urgence.
Le regard de M. Steve changea, on pouvait y voir de l’inquiétude.
Charlie entra et vie Candy frapper dans le sac sans gants, il savait par expérience que la jeune femme extériorisé sa colère comme ça, mais ça pouvait la blessée, un mauvais pouvait lui facturer le poignet.
Il s’approcha d’’elle, et lui parla de Tom et de sa grand-mère, puis quand, il vit qu’elle se calmait, il la prit dans ses bras, en la berçant doucement, il avait pris l’habitude de ses excès de colère. Elle trouvait un endroit quand la colère apparaissait, et se déchaîner en boxant.
Une fois Candy calmer elle fila sous la douche des vestiaires et se prépara pour aller travailler, personne ne vit partir Candy partir, c’est seulement le moteur de sa Porsche qui grondait qui fit comprendre qu’elle était partie.
Terry était déçu il voulait qu’elle l’emmené pour essayer de discuter.
La journée commença pour Candy et son équipe, mais rien de grave.
Au dernier étage de l’hôpital, se tenait une réunion d’urgence, avec les administrateurs, les actionnaires et les représentant de chaque service Candy qui venait d’arrivé demanda à William de se présenter à sa place, et de lui faire un compte rendu, celui-ci était d’accord.
Tout monde pris place,
- Que fais-tu là William demanda le professeur Legrand
- Je représente Mlle Brown, elle est sur une opération
- Exact fit Richard alors commençons sinon nous allons prendre du retard.
- Le problème est simple, nous manquons de fonds, pour donner suite aux problèmes que nous avons eu avec le travail, nous ne pouvons plus soigner les personnes avec les aides sociales.
- Avons-nous une autre solution demanda Legrand sénior
- Je ne pense pas dit l’investisseur
- À moins de trouver la poule aux œufs d’or se moqua Terry
- Et pourquoi pas dit Richard Grandchester
- Avez-vous ça dans vos relations Richard demanda Georges Martin
- Qui sait, je peux trouver ça
- Alors que faisons-nous demanda Sarah Legrand qui était actionnaire - Je pense que la personne que connais voudra un dossier complet sur la trésorerie, le taux d’admissions, elle voudra aussi un rapport sur les patient V i P.
- Vraiment intéressant dit M. Legrand.
- Je peux contacter M. Dupont de suite, un avocat réputer qui travaille avec cette personne dit Richard
- Faites donc dit M. Legrand sénior
- Alors nous avons reçu une demande de Mlle Brown qui réclame du matériel correct.
- Les finances ne nous le permette pas dit Mme Legrand.
- Je peux voir avec des donateurs fit Richard
Terry regardait son père de plus en plus intrigué il pensa depuis quand mon père connait autant de personne.
Veuillez me donnez la liste du matériel, je vais contacter un de mes amis fit Richard.
Il sortit de la salle de conférence, passa un coup de fil et revient à sa place
- Quelle chance que nous ayons dit-il, quand mon ami a su que Mlle Brown demandait le matériel, il a dit que nous recevrons le matériel sous 8 jours.
- Une bénédiction cette Mlle Brown fit Terry ironiquement
- Vous ne pouviez pas imaginez répondu richard en souriant.
- Le biper de Terry se mis à sonner
- Excusez les urgences
- Allez-y mon cher (Legrand sénior)
- Attendez-moi dit William, je pars avec vous
La réunion se termina comme ça, Terry et William étaient en route, pour les urgences
- Connaissez-vous Mlle Brown demanda William
- Je la connais effectivement
- Quel genre de personne est-elle ? (William)
- Je ne sais pas trop, je ne l’ai pas vu depuis dix ans
- Et avant comment était-elle ?
- C’était une personne qui vivait comme louve sauvage, très peu de personnes ne pouvait l’approcher, seuls les personnes d’hier et sa grand-mère avaient le pouvoir de communiquer avec elle, je peux dire qu’elle très active dans sa vie de sportive, quoi d’autre si elle pique une colère prévenait tout monde de rester hors de sa portée dit-il en riant, il repensa à l’épisode Louise.
Ils arrivèrent aux urgences, Dorothy interpela Terry
- Dr Grandchester, Candy vous attend dans son bureau.
- J’y vais de ce pas répondit-il depuis quand Candy, est aussi ouverte aux autres.
- Il frappa et entra
Elle était en communication, Terry écoutait la conversation, il voulait absolument savoir.
Candy riait avec son interlocuteur, l’entendre rire était magnifique, mais l’avait-il déjà entendu rire, la réponse fut non bien sur Candy ne riait presque pas.
Oui, M. le ministre, je vous vois dans un mois, embrasser votre femme pour moi, d’accord, merci pour le matériel, j’y penserais, d’accord je viendrais plus souvent Allez bye, on se téléphone voilà ce que Terry avait retenue de la conversation de Candy. Quand elle raccrocha, elle lui sourit
- Bonjour M. Grandchester
- Bonjour Candy, tu ne te souviens pas de mon prénom.
- Ne t’inquiète pas je ne l’ai pas oublié, mais je sais rester à ma place.
- Que me vaut l’honneur, demanda- t -il
- Une visite de l’hôpital, t’intéresse, j’ai un patient qui m’attend pour la visite.
- Ok, je suis partant (Terry) trop heureux de passer du temps avec elle.
- Elle prit son téléphone
- Est-il prêt John, quoi, il refuse de se lever, j’arrive ne t’inquiète pas. Elle glissa son téléphone dans sa blouse, sortit du bureau et d’un pas décider elle entra dans la chambre 109, suivit de Terry et de Betty, elle regarde l’homme qui lui faisait un grand sourire.
- bonjour M. le connard fit-elle on la fait notre ballade ?
- Veuillez rester poli dit l’homme.
Je suis poli, J’ai mis un M. devant connard.
Candy fit Terry calme -toi
Comment rester calme devant un mec minable comme çà.
Elle prit l’homme par le col et le sortit de son lit,
- le fauteuil roulant s’il te plait Betty, apporte moi les sangles.
Elle jeta l’homme dans le fauteuil, lui attacha les mains les pieds le regarda avec des yeux brulants
- en avant M. le connard
Elle lui fit visiter comme promis la veille toutes les patientes et tous les patients, un par un, l’homme versa des larmes, il ne pouvait pas croire que tous ses blessés étaient là à cause de lui.
- nous voici à la principale dit Candy
Ils entrèrent l’homme regarda cette femme allongeait dans le lit,
- que fait ma femme ici demanda l’homme.
- A vous de le dire, vous lui avez fracturés trois cotes, dont une qui a perforé son poumon, et vous avez tué son enfant.
- Pardon dit l’homme effrayé par les dire de Candy
Vous avez bu, vous l’avez tapé, elle a perdu son bébé, et elle n’a pas repris conscience comme ça c’est assez clair hurla Candy
Non cria l’homme c’est pas moi.
Betty s’il vous plait hier je vous ai donner une liste de numéro, téléphoner à mon avocat pour Mme, puis appeler Charlie dites-lui que j’ai besoin de lui pendant l’heure du repas.
- il est à toi Terry, puis elle partit
- Betty je vais vous déranger aussi, téléphoner à mon service dites-leur de venir chercher M.
Il courut derrière Candy l’attrapa par le poignet, mais celle -ci se libéra automatiquement
- À quoi joues-tu Candy, tu as un sacré problème, as-tu oublier tout ce qui s’est passé ?
- Pourquoi t’espère m’avoir comme patiente, il ne sait rien passer à ce que je sache, a part tes mensonges, sur les relations humaines.
- Candy, nous devons parler, je me rappelle la dernière fois ou nous avons parlé, je n’ai pas pu te dire le fond de ma pensée que tu t’enfuyais avec Charlie.
Tous les employés des urgences les regardaient, mais eux étaient sur une autre planète
- À mon souvenir, je ne voulais plus te revoir, manque de chance tu travailles dans le même hôpital
- Candy, j’ai besoin de finir cette conversation de 10 ans
- William, tu peux assurer le service aujourd’hui, j’ai un rendez-vous très important, je te vois ce soir, pour le compte rendu de la réunion.
Elle sortit, monta dans voiture, et démarra en laissant Terry dans l’embarra.
- Alors Terry lui dit William tu la connais un peu
- En faites, je ne la connais plus du tout
- Alors qu’essayes – tu de faire ? pour une fois qu’on a quelqu’un de sérieux et compétant, ne viens pas foutre ton bordel
- Vous ne savez pas le passé de Candy, je ne peux pas laisser s’enfoncer.
- Suis moi Terry dit William, ils allèrent dans le bureau de garde, il demanda à Alistair et Archie de les suivre.
- Je te présente les cousins de Candy, mais elle ne le sait pas encore, elle ne sait rien à leurs sujets car ils ont retrouvé des lettres de sa grand-mère, et puis je connais l’histoire par Élisa, je crois que l’élément qui te manque c’est Suzanne qui a enfoncé Candy dans le plus profond de l’enfer.
- Comment sais-tu ça demandât-il à William.
- Tu sais que je vais me fiancer, je ne te présenterai pas ma douce car tu la connais déjà.
- Qui est-ce interrogea Terry
- La douce Annie Brighton lui déclara ce dernier.
Terry ne savait plus quoi dire, il était perdu, il fallait qu’’il lui parle, mais d’abord des explications avec Suzanne s’imposaient.
On frappa à la porte, une livraison pour Mlle Steve. Le livreur tenait un bouquet de rose rouges.
Signez ici demanda le livreur, Terry pris le bon et vu que ça venait de Daniel.
Depuis ce jour, il voyait Candy que de sa fenêtre de bureau, dans son service, elle s’arrangeait pour toujours pour envoyer William.
Mais ce jour fut un jour compliqués pour tous surtout une surprise, le ministre de la santé avait contacter M. Legrand Sénior pour l’opération d’un gradé de l’armée Japonaise, mais avait précisait que seule Candy pouvait l’opéré, il arriva dans l’ambulance militaire, tout le monde était prêt pour d’opération, quatre soldats entouraient le blessé.
Quand elle arriva avec son équipe le blessé, la regarda, lui sourit et lui dit:
- Bonjour mon capitaine, heureux de vous revoir
- Capitaine dit Archie
- Oui, elle est Capitaine de l’armée Japonaise, elle est notre déesse rigola le soldat.
- Arrête de dire n’importe quoi Jack sinon mon scalpel va dévier sur ta langue.
- À vos ordres ria le soldat
- Tu sais ce qui va se passer lui dit Candy
- Je voulais que ce soit bien fait alors mon père a pris les dispositions pour t’avoir
- Ok, maintenant avant d’aller au pays des rêves raconte-moi comment tu te retrouves avec une lame cassée dans la jambe
- Je te raconterais, mais je ne veux pas être amputés comme l’a dit le docteur du Japon
- Je ne vais pas laisser mon pote, marcher à cloche pied
Puis le soldat s’endormi sous l’effet de l’anesthésie, elle ouvrit, son visage se figea, allez courage se dit Candy, en ouvrant, elle s’aperçut qu’il était infecté, on lui avait envoyer un patient, sans traitement
Elle s’adressa à tout le monde, il faudra au moins 8h pour nettoyer tout ça, Archie, va au bloc orthopédie prend moi deux broches de 1 millimètre, Alistair intube le, Betty éponge moi le plus souvent possible, Dorothy téléphoner chez moi, pour dire que je ne rentrerais pas, ensuite préparer une chambre stérile, John occupe- toi des soldats dehors, envoie les se reposaient, Jimmy ne quitteras la tension des yeux, William, je te laisse les autres opérations, je suis navrée.
Elle nettoya nerfs après nerfs avec du dakin muscles après muscles, elle cassa l’os pour sortir la lame, désinfecta l’os, posa les deux broches, elle fit attention de rien couper, elle referma mettez-le dans sa chambre, donner lui de la pénicilline 200 mg en perf trois par jour, préparer la morphine en cas où, et préparer moi un lit dans mon bureau je veux voir M. Legrand dites-lui descendre, renforcés la sécurité des urgences, j’ai des coups fils a passé.
On pouvait entendre, Candy à travers la porte,
_ M. le ministre vous êtes inconscient, de me l’envoyait comme ça, je sais que c’est votre fils, mais il aurait déjà dû arrivait avec un traitement antibiotique, sa jambe ne peux pas l’affirmer espérons qu’il n’y a pas de séquelle, je suis là le mois prochain, trouver moi le charlatan qui s’est occupé de lui, c’est ça je vous tiens au courant.
- Candy vient voir dit Dorothy, tu passes aux infos
- Merde, ils sont rapides cela
Sur la chaine nationale on pouvait la présentatrice Suzanne Marlowe, raconter ses salades comme disait Candy.
Le capitaine de l’armée Japonaise Candy Brown, opère actuellement le fils du ministre de la santé, nous n’avons pas d’autre informations pour l’instant Nous attendons la sortie du Capitaine Brown pour nous renseigner à ce sujet.
Le standard explosa d’appel un homme et une femme mirent un scandale pour voir Candy, M. Legrand descendit aux urgences voire Candy, il ne comprenait plus on lui avait envoyait un sergent et le voilà qui se retrouve avec le fils d’un ministre
- Mlle Brown que veux dire tout ça demande M. Legrand
- C’est simple même les fils de ministre sont dans l’armée, mais vous auriez dû vous renseigner.
- Êtes-vous vraiment Capitaine ?
- Oui, j’ai pu avoir la double nationalité car ma mère, malgré des parents américains est née au Japon.
- Mlle Brown, vos parents vous demande
- M. encore une chose, je ne m’appelle plus Brown mais Mlle Steve ? j’ai été adopter au Japon Voici le jugement.
Terry reçut un appel,
- Allo Grandchester a l’appareil
- Professeur c’est Annie, nous avons besoin de vous
- Que se passe-t-il Annie
- Nous sommes devant l’hôpital, le père Biologique de Candy et là avec sa femme, il faut vite faire rentrer Charlie avant que Candy ne fasse une crise.
- Je ne comprends rien dit Terry
- En deux mots Candy à un trouble du comportement dès qu’elle est en face de ses ennemis, il faut faire rentrer Charlie c’est le seul qui puisse la calmer.
- J’arrive tout de suite, répliqua ce dernier
Elle se présenta à l’accueil de l’hôpital devant M. et Mme Brown
- Que me voulez-vous demanda Candy poliment
- Espèce de garce, tu mènes la belle vie, pendant que nous acculons tes dettes dit Mme Brown
- Arrêter de vous foutre de ma gueule espèce d’incapable dit Candy qui commençait à s’énerver
- Tu es docteur, tu es capitaine, tu dois prendre soin de nous dit la femme Candy leva, le bras pour la frapper, quand elle sentit qu’on lui enlace la taille, elle entendit la voix de Charlie Tom n’aurais pas voulu ça, ni ta grand-mère, elle se calma, Terry était abasourdi par ça deux fois, il avait vu se changement chez Candy, deux fois Charlie l’avait calmé.
- Terry, s’il te plait prend Candy et emmène la dans son bureau et reste avec elle, je t’expliquerais quand j’aurais fini avec eux.
Terry s’exécuta, mais la présence de Candy avait attiré les journalistes
- On veut voir notre fille dit Mme Brown
- Vous n’avez plus de fille, le jour où vous l’avez jeté comme chien s’énerva Annie
- Calme toi Annie dit Charlie
- Comment je pourrais avec des chiens comme ça (Annie)
- Laisse-moi leur expliquait
- Ok
- Je vais faire bref, Candy n’est plus votre fille depuis son retour, nous avons fournis les pièces de maltraitance sur enfant et les papiers signer par vous M. comme quoi vous abandonniez votre fille à votre mère, donc M. Steve que vous connaissez à adopter Candy. Je pense avoir été claire, on se voit devant le juge si vous voulez, au faites-vous avez une plainte pour diffamation merci d’être passé aurevoir
Il demanda à William, de faire sortir ses deux personnes, il lui expliqua en gros, et disant qu’il voulait soutirer de l’argent à Candy.
Il les fit mettre dehors par la sécurité
Candy s’était endormie suer le lit qu’elle avait fait préparer, Terry attendait Charlie pour avoir des explications, celui arriva passa la main dans les cheveux de Candy et lui murmura que tout aller bien
- Maintenant explique moi que je comprenne
- Déjà as-tu parler à ta femme ?
- Ma femme interrogea Terry drôlement surpris
- Oui Suzanne
- Je ne suis pas marié, c’est quoi cette histoire
- Je commence par le début, enfant Candy avait peur des orages, après avoir connu Tom, sa peur disparut, belle-mère lui a reprocher la mort de Tom, puis il lui expliqua la partie avec M. Legrand, Suzanne et Élisa
- Attends tu es en train de me dire qu’elle a souffert à cause de moi (Terry)
- Quand elle était en prison, ils lui donner des comprimés pour qu’elle reste tranquille, ils ont eu un coup de fil de M. Legrand qui leur avait dit qu’elle prenait un traitement.
- Ils n’ont pas pu faire ça ? dit Terry choquait
- Tu vois tu ne me crois pas, donc pas besoin d’aller plus loin affirma Charlie Elle a mis 6 mois à se remettre, une fois son diplôme en poche, elle voulait retourner au japon dans la maison de sa mère, et ne plus jamais revenir. (Charlie)
- Elle a changé d’avis finalement(Terry)
- - j’aurais préféré qu’elle reste là- bas, mais certaines choses ont changé (Charlie)
- Pourquoi ?
- Tout avait été vendu, sa mère et son n’ont pas été enterrer convenablement, ils ont été éparpiller comme ça après avoir été incinérés.
- Oh mon dieu, alors comment a-t-elle survécu
- Avec ce que son oncle lui a laissé, il avait pris des mesures contre les Brown.
- Mais ça ne me dit pas pourquoi, elle change de personnalité (Terry)
- Pour se protéger, elle change son humeur quand elle est en danger ou elle a peur.
Terry n’aurait jamais pensé que Candy puisse avoir peur.
- Charlie ferme la lui dit Candy qui venait de se réveiller
- Candy fit les deux hommes
- Tu parles toujours trop Charlie, je vais voir Jack dit -elle en se levant.
- Reste là ordonna Terry, tu dois être épuiser après ton opération
- Ne t’occupe pas de moi, va voir ta starlette dit-elle en claquant la porte.
- Pourquoi réagit-elle comme ça avec moi demanda Terry
- Tu es aveugle, professeur, lui dit Annie
Élisa qui avait vu, les informations rageait dans son coin, elle fallait qu’elle se change les idées, elle téléphona à Anthony, pour sortir.
- Désolé Élisa, je dois voir Mlle Steve pour l’opération de demain. (Anthony)
- Mlle Steve qui est-ce ? elle n’avait pas assisté à la conversation donc elle n’était pas encore au courant. (Élisa)
- La femme du restaurant, la jolie blonde, tu ne sais pas qu’elle a changé de nom. (Anthony)
- Tu parles de Candy cette trainée (Élisa)
- C’est ça, elle est impressionnante (Anthony)
- Ne me dit pas que tu es amoureux d’elle ? (Élisa)
- Qui sait de plus ma vie ne te regarde pas et il raccrocha (Anthony).
Terry était remonté dans son bureau, il n’arrivait pas à croire ce qu’il avait entendu, il sortit son portefeuille pour regarder la photo de sa femme comme il disait.
Il se mit à penser à ce que lui avait dit Charlie, il voulait en savoir plus, Charlie ne parlerait pas plus car il respecter trop Candy pour la mettre en colère.
Il était sûr qu’il y avait une suite à son histoire, il redescendit, il voulait savoir.
Il arriva devant la porte du patient, il pouvait entendre Candy rire, puis il entra
il vit que Candy avait sa main dans celle de Jack, son cœur sortit de sa poitrine, la douleur était présente.
Elle accordait une attention particulière à chacun de ses amis, mais avec lui c’était la reine des glaces.
- Je te présente le Dr Grandchester, chef de service de psychiatrie
- Enchanter Dr je me présente, Jack Lee, sergent de l’armée japonaise
- Enchanté, je vois que votre réveil a été bon
- Je ne pouvais pas rêver, me réveiller auprès de Candy, c’est magnifique
- Ne dit pas de bêtise, nous avons déjà eu des réveils ensemble
Là c’était un pieu que Terry reçut en plein cœur
- Vraiment Candy, tu ne changeras jamais, je parle, d’un réveil que toi et moi, pas les réveils de l’armée
- Dans tes rêves, mon cher, tu trouveras chaussures à ton pied. (Candy)
- Mais c’est toi que je veux épouser dit Jack
- Impossible, tu le sais bien (Candy)
- Malheureusement je le sais (jack)
- Pourquoi vous ne pouvait vous marier demanda Terry curieux
- Seulement parce-que nous sommes amis, et ça ne changera jamais répondit Jack
- L’un n’empêche pas l’autre répondit Terry
- On ne peut pas se marier sans amour, et c’est le cas, j’aime Candy, comme ma sœur, elle est ma confidente, mais j’adore la taquiner, car, elle est de celle qui refuse de se marier.
- Je ne te savais pas comme ça Candy affirma Terry
- Justement, vous ne savez rien de moi, puisqu’ on est pas amis dit-elle froidement.
- Nous l’avons était répliqua ce dernier
- Je ne peux pas appeler sa de l’amitié, je n’ai jamais trahi un de mes amis, et encore moins laisser une personne chère à mon cœur qui se trouve dans la douleur.
- Puis tourna les talons et sortit, Jack éclat de rire sous le regard dépiter de Terry
- Alors, c’est vous le traitre
- Pardon demanda le Dr Grandchester
- Candy, vous appelle le traitre vous ne le saviez pas
- Non, je ne pensais pas qu’elle me nommerait ainsi
- Étonnant de sa part, elle qui est si franche
- Je crois qu’elle ne m’a pas adressé la parole en dehors de l’hôpital
- Elle doit vraiment vous haïr, car Candy est douce, intelligente, une femme comme ça tout monde en rêve.
- À qui le dîtes -vous releva Terry d’un air rêveur
Anthony attendait Candy dans son bureau
- Bonjour Mlle, puis -je vous invité à diner pour que l’on discute de Mme Vernes, l’opération de demain
- Bien-sûr mais à une condition dit-elle en souriant
- Laquelle
- Nous dinons à la cafétéria, car je ne peux pas m’absenter trop longtemps - Marché conclus fit
- Ils allèrent à la cafétéria, les regards se retournèrent sur eux.
- À table ils parlèrent de l’opération de choses et d’autres, des sourires, des rires, tout monde commença à ébrutait que ses deux-là étaient faits l’un pour l’autre.
- Daniel en avait eu échos, il ne sait pas pourquoi, il enviait Anthony, il téléphona à sa sœur, lui raconta les échos, ce qui la mit en colère
Demain, elle irait parler à Candy, évidement, elle n’irait pas seule
. La soirée se passa tranquillement, Candy avait besoin de se défouler, elle ne pouvait pas se passer de ses entrainements, elle enfila un survêtement et alla courir autour de l’hôpital, elle rentra dans son bureau, Terry était là, il fallait qu’il lui parle, il devait comprendre.
- Candy puis- je t’inviter à diner ? (Terry)
- Je ne suis pas assez proche de toi pour partager un repas avec toi
- S’il te plait, nous devons parler
- Je n’ai rien à te dire, j’ai mes visites à faire aurevoir.
Terry voulait abandonner la partie faire une croix sur elle, mais son cœur lui criait l’inverse, il avait passé 10 ans attendre, il ne pouvait pas abandonner sans comprendre. Il alla voir son père qui dinait avec des actionnaires pour régler les derniers détails du nouvel associé.
- Bonsoir dit-il puis-je vous parler après votre réunion ? (Terry)
- Bien -sûr, est-ce vraiment important ? (Richard)
- Oui sinon, je ne serais pas venu (Terry)
- Laisse-moi déjà te présenter, voici M. DuPont avocat
Il le salua poliment
- Je suis Terrence Grandchester, ravi de vous connaitre
- Moi de même, j’ai déjà, entendu parler de vous dit-il avec sourire narquois.
- Je vous laisse à vos affaires,
- Au faites Terry, dans deux jours l’associer se présente à l’hôpital sera tu des nôtres pour la visite.
- Bien sûr, je serais présent.
Tard dans, la nuit Richard rentra chez lui, Terry l’attendait sur le sofa,
- As-tu passé une bonne soirée père ? (Terry)
- Oui et toi répondit Richard
- La pire de ma vie dit-il en grimaçant
- De quoi voulais- tu me parlais ?
- De Mlle Brown dit Terry sur un ton anxieux
- Je rectifie, Mlle Steve, que veux-tu savoir exactement ? (Richard)
- Savais-tu qu’elle pouvait avoir des changements d’humeur ?
- Bien sur répondit son père, mais cela n’interfère pas dans son travail, son psychologue, l’a certifié
- Elle est suivie par quel Dr ?
- Je ne te dirais rien à ce sujet. (Richard)
- Alors dit moi ce que tu sais sur elle
- Je ne peux pas tout te dire, vu qu’elle est très en colère contre toi, mais cette jeune femme est très appréciée au Japon elle a un cercle d’amis important, elle ne laisse personne interférer dans ses relations, cette jeune femme est très droite même après avoir eu un passé de délinquante, elle n’aime pas l’injustice, le mensonge et la trahison.
- Comment sais-tu tout ça ?
- J’ai fait mon enquête, je vais même te dire plus, elle a eut un enfance malheureuse, c’est retrouver à l’hôpital, a vécu au Japon , jusque ‘à 6 ans , aune enfance malheureuse, malgré ça elle était classer N°1 à l’école, suite à la mort de son ami, elle changea, fut envoyer chez sa grand-mère avec elle avait tisser des liens profond, elle admirait son professeur, elle c’est fait harcelé par Élisa Legrand et Suzanne Marlowe, cette petite a écoper d’un an de prison pour un vol qu’elle n’avait pas commis.
- Comment ça harceler par Suzanne
- Laisse-moi finir, championne de boxe au japon, elle remet son titre en jeu le mois prochain, elle vise les championnats du monde. Elle n’aurait pas eu la boxe et ses amis cet enfant serait morte de Chagrin
- Père comment sais-tu ça demanda Terry en haussant la voix
- C’est simple, je fais parti de ses amis depuis 4 ans, elle ne me cache rien. C’était la meilleure de l’année, son père était ami avec elle, alors lui n’arrivait pas l’approcher, depuis 4 ans et lui se demandait où elle était
- Peux-tu me dire ce qui s’est passé avec Suzanne ? (Terry)
- Demande lui toi-même, ou va à la source ?
J’ai vraiment besoin de savoir s’il te plait père supplia Terry.
- Je vais te le dire puisque tu es le seul à ne pas être au courant, Suzanne a fait comprendre à Candy que vous étiez fiancé, que les pauvres mendiantes ne devraient pas s’accrocher à toi, et qu’elle devait rester à sa place.
- Quoi, mais quand ?
- Terry, je ‘t’avais dit qu’elle te ferait des histoires, mais s’en prendre à une enfant seule je trouve ça minable, et si Charlie n’avait pas été là ce jour-là quand cela s’est passé Candy ne serais plus en vie
- Mais quand cela s’est -il passé ?
- Le jour de la mort de sa grand-mère. Répondit Richard
Terry devenait fou, pourquoi n’avait-elle rien dit puis il repensa à sa dernière conversation avec Candy.
Elle lui avait dit à sa manière, seulement, il avait oublié que la jeune fille s’exprimait mieux avec ses poings qu’avec des paroles. Il passa sa nuit à réfléchir, comment aborder le sujet avec elle ?
Le lendemain, Élisa et Suzanne se présentèrent aux urgences, elles voulaient entrer dans le bureau de Candy, quand William, se dressa devant ses deux pestes,
- Que faites-vous ? demanda-t-il
- On vient voir Candy
- Pour vous ça sera Mlle Steve dit Archie qui avait vous le manège.
- De quel droit vous nous interdisez l’entrée au bureau,
- Vous n’êtes pas des urgences, puis vous n’êtes pas des proches non plus, intervient Alistair, qui entra sans frapper et ferma la porte aux nez des demoiselles
- Candy sort si tu es là, j’ai deux mots à te dire,
Candy sortit suivi d’Anthony,
- Je n’ai pas le temps pour vous dit Candy
- Tu vas prendre le temps dit Élisa en colère d’avoir vu Anthony dans le bureau
- Ok ce soir 18 heures dans ma salle d’entrainement et si tu arrives à me battre, j’écouterais ce que tu as à me dire.
- Laisse tomber Élisa lui dit Suzanne
- Non mais pour qui elle se prend hurla Élisa
- Pour la championne de boxe du Japon fit une voix
- Daniel que fais-tu là ? demanda sac sœur
- J’ai rendez-vous avec Candy, pour l’intervention de cet après-midi
- Tu travaille avec cette peste, demanda Élisa
- Élisa, Suzanne allaient jouer avec des gens de votre niveau, je n’ai pas de temps à perdre, on y va Anthony dit Candy
La tête des deux femmes étaient transformait en on ne sait pas quoi tellement qu’elles étaient en colère
- J’aime cette femme de plus en plus fit Daniel
L’opération dura deux heures, c’était un homme d’une quarante d’années qui avait eu un accident sur son chantier, mais là au grand regret de Candy l’amputation eut lieu. Anthony avait du mal à suivre le rythme de Candy, ses gestes étaient rapides et précis.
Suzanne allait rendre visite à Terry qui était toujours l’objet de ses fantasmes, elle ne fut pas déçue de sa visite
Terry était dans son bureau, il regardait par la fenêtre, il regardait exactement le parking et la Porsche bleue qui n’avait pas bouger de place.
- Bonjour Terry dit Suzanne tendrement
- Tu tombes bien toi lui dit-il sa voix glaça le dos de Suzanne
- Tu n’es pas de bonne humeur, je repasserais
- Non ne pars pas, il faut qu’on parle (Terry)
- Je t’écoute dit-elle avec un sourire malicieux
- Qu’as -tu dit à Candy, il y a dix ans après que je tai avouer que j’étais amoureux d’elle
- Moi, rien bégaya Suzanne qui avait changer de couleur
- Je sais tout alors pourquoi continuer à nier, alors je vais te dire une chose Suzanne, notre amitié s’arrête là adieu et à jamais
La journée fut très chargée pour nos chirurgiens, l’opération de l’après- midi dura plus d’une heure, enfants blessés ou malade, étaient arrivés aux urgences , Élisa allait profiter de ça pour attraper Candy, mais à chaque fois c’est William qui lui faisait les comptes rendus
Terry avait été appelé aussi pour voir la personne amputer, mais Candy lui avait dit le minimum de mots pour expliquer la situation.
En soirée, tous allèrent boire un verre sauf les non désirés, ils étaient dans le bar en face de l’hôpital, on pouvait les entendre rire quand Élisa se pointa
Elle commença à insulter Candy
- Bruno s’il te plait met moi ça à la porte
- Bien patronne lui dit l’armoire à glace qui servait de videur.
- Vous ne pouvez pas faire ça hurla la rousse
- La patronne ordonne je fais
- Pourquoi ce bar est à elle
- Oui Mlle depuis plus d’un an lui répondit Bruno - Tu es surprenante Candy, je ne savais pas que tu étais la patronne lui dit Daniel. - Tant de choses que vous ne connaissez pas sur moi lui répond -t-elle Ils passèrent la soirée tranquillement, la conversation avait tournée sur Candy et l’armée.
Le lendemain tous était en train d’attendre le futur associé, il fallait que tout soit impeccable, pour qu’elle signe le contrat.
Une limousine arriva, l’avocat Dupont en sortit, il tendit la main vers la femme qui siégeait à l’arrière de la voiture
- Mlle Steve, nous y sommes dit -il en ouvrant la portière.
Candy, sortie de la voiture accompagnée de Sandra,
- Candy, lui dit Richard je suis heureux que tu es accepté ma demande
- Tout l’hôpital resta bouche ouverte à la vue de Candy
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